Le second Like A Dragon est sorti, et son contenu est pléthorique. Voici pourquoi il est apprécié – et il est en réduction sur PlayStation 5.
Quel plaisir ! Le deal du jour est consacré à l’une des meilleures sorties de « gros jeux » de ce début d’année. Il y a même deux rendez-vous parmi les JRPG articulés au début du mois de janvier – bientôt le remake de Persona 3, et le dernier épisode de la série Yakuza, renommé Like a Dragon: Infinite Wealth. Il est disponible sur les dernières consoles (sauf la switch) et le deal du jour concerne la version Playstation 5.
C’est donc une bonne opportunité de le trouver à seulement 47,90 euros via un deal Leclerc, partagé et fourni par l’utilisateur Nikosss. (Qui implique l’existence de l’utilisateur Aliagasss, n’est-ce pas ?) C’est un jeu proposé au prix fort, entre 60 et 70 euros. L’occasion fait le larron ?
Une centaine d’heures de plaisir à Hawaii
Le second épisode de Like A Dragon est donc, l’un dans l’autre, le huitième épisode canonique de la série Yakuza. Le deuxième épisode d’un reboot, qui vous permet de prendre le train en marche – ce n’est pas trop grave – avec cet épisode, même s’ils sont tous bardés de références aux épisodes précédents.
Vous incarnez toujours Ichiban, yakuza repenti qui, comme tous les personnages de cette saga, s’est fait avoir par le Japon interlope et en a payé les pots cassés en prison. Après des évènements qu’on ne racontera pas, cet épisode se passe à Hawaii, dans lequel le bon Ichiban aura une vie de luxe ? Ce serait étonnant, vu la teneur de l’épisode précédent – qui abordait la vie de SDF, la prostitution… des intrigues très sombres, qui font un contraste étonnant avec les multiples sous-quêtes particulièrement débiles de ces jeux.
50 minijeux indémodables
Et ce sont les promesses de ce nouveau jeu : un nouveau lieu, ni trop grand, ni trop petit, un scénario au très long court (le jeu peut faire de 80 à 100 heures, et ce n’est qu’une estimation) et plein de petites choses qui prennent le temps parfait pour qu’on puisse s’amuser et passer à autre chose. Le gameplay principal est un mode de combat en tout par tout à l’ancienne, avec un humour détonnant (l’un des boss est un requin géant, et ce n’est qu’un exemple)
Mais la force de ce genre de jeu réside dans ses à-côtés. Dans Infinite Wealth, on multiplie les mini-jeux, par exemple dans une parodie de Pokemon (une alternative à Palworld qui tombe bien, finalement). Vous pourrez aussi jouer à un espèce de Frogger et éviter des explosions et des camions à toute vitesse – c’est aussi excitant que ça en a l’air. Ceci, la puissance de l’intrigue et des personnages, la qualité des doublages, la finesse de l’écriture, et le contenu pléthorique… tout ça justifie certainement cet excellent Metacritic de 89.
Joueurs PlayStation, vous savez désormais quoi faire !